L’écologie digitale : les bonnes pratiques à suivre ✅
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L’écologie digitale : les bonnes pratiques à suivre

Publié le 29 mai 2019

L’ÉCOLOGIE DIGITALE : LES BONNES PRATIQUES À SUIVRE

Connaissez-vous la pollution digitale ? Cette forme de pollution qui ne se voit pas, mais qui existe pourtant bel et bien.

Mails envoyés, notifications reçues, documents stockés sur le cloud, applications superflues du téléphone… Ces pratiques quotidiennes contribuent à augmenter cette pollution digitale sans même que l’on s’en aperçoive.

Afin de limiter les aspects néfastes de cette pollution, l’écologie digitale a pour but d’en étudier les répercussions sur l’environnement et d’agir en conséquence.

Chiffres-clés de l’écologie digitale en 2019

infographie écologie digitale

Heureusement, tout citoyen peut (s’il le souhaite) contribuer à l’écologie digitale en quelques gestes simples.

1. Gestion éthique de sa boite mail

Lorsque vous stockez des mails, vous engendrez de la pollution dormante. En effet, les mails que vous conservez continuent à être traités par des serveurs dans des data centers, qui sont très énergivores. Selon Cleanfox, ces centres de données consomment près de 10 % de l’énergie en France.

Ainsi, privilégiez le stockage local de vos informations plutôt que sur des serveurs.

En somme, pour diminuer votre empreinte écologique, supprimez au fur et à mesure vos mails inutiles, limitez vos envois “répondre à tous”, compressez vos fichiers en pièce jointe, et stockez vos données sur disque dur.

Pour gérer votre courriel, vous pouvez utiliser des boites mails éco-responsables telles que Mail Lilo ou Eco Mail.

2. Effectuer des recherches sur un moteur adéquat

Par jour, le nombre de recherches sur Google est de 5 milliards. Or chaque requête occasionne près de 7 grammes de CO2 émis.
Pour surfer sur internet en diminuant son empreinte carbone, nous conseillons donc d’utiliser des moteurs de recherches responsables, tels que Ecosia ou Ecogine. Ce dernier est un moteur de recherche français, écologique, qui compense les émissions de CO2 émises par les recherches des internautes en reversant tous ses bénéfices à des associations de protection de l’environnement.

Ecogine

Dans un second temps, taper directement l’URL dans la barre de recherche permet de simplifier le parcours des opérations en affichant directement la page qui nous intéresse, et donc de réduire notre bilan carbone.

3. Gérer responsablement ses appareils digitale

Optimiser la gestion de son téléphone est primordial pour parvenir à diminuer les émissions de CO2 quotidiennes.

Les applications sollicitent en continu les utilisateurs avec des notifications incitatives. Dans un premier temps, les désactiver permet d’éviter les requêtes inutiles.

Ensuite, nous avons de nombreuses applications superflues dans nos téléphones.
Or, une fois installée, elles utilisent les ressources du téléphone et sont soumises à des mises à jour automatiques régulières. Supprimer ces applications permet d’éviter de consommer de l’énergie sans raison.

En outre, éteindre son ordinateur plutôt que le laisser en veille permet déjà de diminuer sa consommation d’énergie. De plus, dès que nos appareils sont chargés, il est nécessaire de les débrancher car ils continuent de consommer. Très simple, ce geste contribue pourtant à l’écologie digitale.

Les évolutions à venir

En conclusion, l’écologie digitale est un enjeu primordial pour nos générations futures.

En effet, alors que 40 % de la population a actuellement accès à internet, ce nombre s’élèvera à 9 milliards en 2035.

C’est pour cela qu’il est important d’inculquer dès maintenant les bonnes pratiques à suivre pour limiter la pollution digitale.

Ainsi, 77 % des Français espèrent voir des mesures prises par l’État pour faire de la France le leader de l’écologie digitale d’ici 2023.

Pour faire bouger les choses et participer à la protection de nos écosystèmes, vous pouvez également soutenir des organismes tels que Pur Project ou Wildlife Conservation Society, qui luttent pour protéger l’environnement.

Si vous le souhaitez, vous pouvez contacter notre agence digitale ici.

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Par jugement en date du 4 avril 2023, le Tribunal de Commerce de BREST a prononcé la liquidation judiciaire de la société ZIP et de la société Beable avec une poursuite d’activité jusqu’au 12 avril prochain inclus, et désigné la SELARL FIDES, prise en la personne de Maître Bernard CORRE, en qualité de Liquidateur Judiciaire.

La poursuite d’activité jusqu’au 12 Avril nous permet d’assurer la transition pour nos clients vers le prestataire de leur choix. Vous allez recevoir un courrier officiel dans les prochains jours et nous pourrons ensuite convenir ensemble des modalités de transfert de vos données. Sachez que nous mettons tout en oeuvre de notre côté pour que vous soyez le moins impacté par l’arrêt de notre activité.